Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
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