Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
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Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Les ampoules éclairent le récit. Elles sont les yeux du papa, elles évoquent la petite fille qui saute de joie à la perspective de participer à la prochaine course de caisses à savon, elles sont les larmes d’un homme qui comprend qu’il devient aveugle. Quand elles balancent, on peut y voir le temps qui passe et le sursis qui étreint père et fille, qui se préparent à basculer dans un autre quotidien.
Catherine Makereel - Le Soir