Des livres pop-up géants s’ouvrent sur l’altiplano, des marionnettes convoquent condors et cyclistes, un rétroprojecteur fait avancer les personnages et les décors, (…) des bobines de bandes magnétiques se transforment en roues de vélo, une musicienne habille l’intrigue en direct de sonorités exotiques et l’on rebondit ainsi sur une fable d’un féminisme plus ludique que revendicatif.

Catherine Makereel - Le Soir

Le spectacle fait appel au mime, au théâtre d’objets et aux jeux d’ombres pour animer une fable drôlement humaniste (…) Les enfants captivés par ces histoires fantasques en sortiront le coeur essoré par un final d’une tendre philosophie.

Catherine Makereel - Le Soir

Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.

Nathalie Boutiau - L’Avenir

Immersive, sensorielle, la proposition dansée explore l’invisible, ce qui n’a donc pas encore de nom mais qui parle au nourrisson. Car du silence resurgit le langage originel, celui qui n’utilise pas de mot, juste des gestes, le mouvement répété et le regard. La danseuse, Erika Faccini, s’adresse à l’enfant que nous sommes restés, à celui qui appelle le nouveau venu, le bébé. C’est un cycle, perpétuel, un appel à la vie qui se poursuit dans la matrice. Et en dehors.

Nathalie Boutiau - L’Avenir

Les ampoules éclairent le récit. Elles sont les yeux du papa, elles évoquent la petite fille qui saute de joie à la perspective de participer à la prochaine course de caisses à savon, elles sont les larmes d’un homme qui comprend qu’il devient aveugle. Quand elles balancent, on peut y voir le temps qui passe et le sursis qui étreint père et fille, qui se préparent à basculer dans un autre quotidien.

Catherine Makereel - Le Soir

Les questions, existentielles ou non, se déplient dans une scénographie amovible, à la manière d’un pop-up pour une histoire tout en sourire qui se raconte page après page, et parfois en ombres (…) Qu’est-ce que la vie avant de naitre ? Pourquoi les enfants viennent-ils au monde ? (…) Autant de questions, d’histoires que les enfants adorent entendre et réentendre.

Laurence Bertels - La Libre Belgique

Avec ce spectacle d’une fantaisie un peu foutraque, amené à tourner auprès du jeune public, les petites sirènes de toutes les tailles pourront s’identifier à ce personnage fier de ses écailles.

Catherine Makereel - Le Soir

Douce Révolution se vit comme une expérience globale. Il y a évidemment au coeur, le moment du spectacle, et nous soignons avec la même importance l’accueil, la préparation du parcours pour arriver là, et l’après spectacle, la décompression, la sortie du théâtre.

Compagnie des Mutants

Théâtre d’ombres, marionnettes à taille humaine, décor mouvant, vidéos baladeuses, tableaux surréalistes : la compagnie multiplie les techniques pour faire rebondir avec panache ce très attachant road trip écrit et mis en scène par Jérôme Poncin.

Catherine Makereel - Le Soir